Quatorzième jour : Alice Springs ==> Adélaïde

Aujourd’hui, direction Adélaïde. L’avion est à 12h35, la navette pour l’aéroport à 10h40, on se lève tranquillement à 7h00. Petit déjeuner tartines dans la chambre, dépose des valises à la réception et on part faire un tour dans les boutiques autour.

Un vendeur de pierres précieuses attire Cécile. Des centaines d’opales lui font de l’œil à plus de 1000€. Les seules abordables sont de la taille d’une tête d’épingle ou franchement grossières, elle ne craque pas. Facile ! Le vendeur de souvenirs à côté aura plus de succès, facile aussi ! Nous recroisons notre guide qui prend un café-journal dans la rue, il nous indique une galerie de peintures aborigènes de qualité, Papunya. Nous y courrons avant d’attraper notre navette. On y voit effectivement de très belles peintures, pour certaines abordables cette fois. Benoit implore, s’agenouille, prie, supplie, mais rien n’y fera, le ministère du budget a tranché, c’est non.

C’est parti pour la tournée des hôtels avant d’arriver à Alice Springs Airport. C’est en fait un petit aéroport comparé aux précédents que nous avons visités, on monte dans l’avion directement depuis la piste, écrasée par la chaleur de midi. Le vol d’1h50, agrémenté d’un film, passe à toute vitesse, on est même surpris par l’atterrissage !

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Il semble qu’aucune navette ne desserve notre hôtel, on est bon pour un taxi. Nous pensions avoir à faire à un Check-in automatique, il n’en est rien, un dévoué employé nous donne nos cartes magnétiques et nous voilà dans la chambre 1012. Petite, mais avec un lit kingsize et une jolie peinture sur le mur.

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Pas du tout fatigués du voyage, nous partons nous promener un peu au hasard des rues. Adélaïde est une très jolie ville, du moins dans notre quartier, où subsistent de nombreuses maisons datant de la fin du 19ème siècle. Elles présentent même une petite plaque explicative avec chacune leur histoire propre, quand elle est connue. Beaucoup de fleurs, quelques cacatoès réglementaires (les gris à cou et ventre rose), rues très larges, espaces verts, on est dans une zone sympa, pas moderne, mais très agréable.

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C’est l’heure de manger, on s’arrête dans un restaurant japonais, nous avons deux heures avant une petite vidéo-conférence avec les enfants. Enfin en principe, car on n’a pas encore la confirmation. Le service est si lent que Cécile a le temps d’aller faire des petites courses entre la commande et l’arrivée des apetizers. Benoit a lui aussi le temps entre les entrées et le plat de repasser à l’hôtel pour voir si la session skype est effectivement possible. Vidéo confirmée mais décalée d’une demi-heure, on aura donc tout le temps. Benoit a finalement droit à un plat au poulet parce que le serveur a apporté son plat au bœuf à une autre table. Petite glace au thé qui se transforme toute seule en glace vanille et on retourne à l’hôtel, ils vont entendre parler de nous sur TripAdvisor ! N’empêche que les sashimis étaient extraordinaires !

Free wifi inclus à l’hôtel et sans limite, on en profite ! Ça fait presque 10 jours qu’on ne s’est pas vu, ça a l’air d’aller, n’est-ce pas les petits ?

Nos sacs pour le séjour sur Kangaroo Island sont prêts, demain debout à 4h45, le car passe à 6h00 mais devant un autre hôtel, il ne faut pas le rater.

Voili, c’était notre quatorzième journée aux antipodes, la preuve !

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