La journée était sensée être très chaude, elle l’a été. Le centre ville était annoncé avec 37°, j’ai préféré la plage, annoncée à 32° seulement.

Une vingtaine de minutes de bus et j’arrive à Bondi Beach. Évidemment j’ai raté la validation de mon Opal Card (pass Navigo en australien) mais je n’ai pas été contrôlé.

Des restos, des commerces de plage, une petite ville balnéaire. bondi n’en est pas moins une des plus belle plage du monde paraît-il. Ce qui est sûr c’est que le sable est très blanc, et l’océan de cette couleur si typique qu’on parle du bleu de Bondi comme d’une couleur spécifique (souvenez-vous des premiers iMacs).

Arrivé vers 9h30, il y a déjà beaucoup de monde. Le soleil est déjà haut, il tape comme un sourd. Casquette, crème, lunettes de soleil, lecture. C’est là que j’ai réalisé que se mettre tout seul de la crème dans le dos n’était pas si évident. L’eau n’est pas très chaude mais comme le dit le théorème d’Archimede : « tout corps plongé dans l’eau dit qu’au début elle est froide mais qu’après elle est bonne ». Un peu de snorkelling, décevant (que du sable blanc, quelques petits ou moyens poissons blancs aussi) et retour sur la serviette. Re-couche de crème, re-lecture.

À midi je recherche un fish & chips et le mange sur une pelouse à l’ombre. Un petit tour le long de la plage et je repars vers les commerce pour trouver une terrasse ou prendre un dessert. Il fait très chaud, je me sens me déshydrater. Je trouve une terrasse ou je demande quelque chose de grand, avec des fruits et de la glace. Je me retrouve avec un grand smoothie pastèque/citron qui convient parfaitement. Après deux bonnes heures de lecture et de pastèque je retourne à l’appartement en bus, en validant correctement cette fois.

Après une bonne douche je constate effectivement que même en faisant les meilleurs efforts, on ne peut pas se mettre de la crème partout dans le dos. Résultat : une bande bien rouge au milieu, in atteignable avec des bras normaux. J’ai aussi oublié les pieds, parfaitement rouges. Le reste ne doit pas être trop brûlé. Je n’aurais pas l’air d’une écrevisse pour mes premiers rendez-vous.

Ce soir, Skype, c’est la Saint Valentin quand même !